5. Accès Ouvert aux Résultats Publiés de la Recherche

De quoi parle t-on ?

Le libre accès aux publications est le fait, pour tout utilisateur, de pouvoir consulter en ligne les publications de recherche tels que les articles et les livres, gratuitement et sans aucun obstacle technique (comme l'enregistrement obligatoire ou la connexion à des plateformes spécifiques). A minima, ces publications peuvent être lues en ligne, téléchargées et imprimées. Idéalement, des droits supplémentaires tels que le droit de copier, de distribuer, de rechercher, d'établir des liens, d'explorer et d'extraire devraient également être donnés. Il existe deux voies principales et non exclusives pour arriver au libre accès :

  • La voie verte (auto-archivage) : le travail publié ou le manuscrit final évalué par les pairs qui a été accepté pour publication est mis à disposition libre et gratuite par l'auteur ou un représentant, dans une archive en ligne. Certains éditeurs demandent que le libre accès ne soit accordé qu'au terme d'une période d'embargo. Cette période d'embargo peut durer entre plusieurs mois et plusieurs années. Pour les publications qui ont été déposées dans une archive mais qui font l'objet d'un embargo, au moins les métadonnées sont accessibles en libre accès.

  • La voie dorée (publication en libre accès) : le travail publié est mis à disposition en libre accès par l'éditeur immédiatement après publication. Le modèle commercial le plus courant est basé sur des paiements à l'unité par les auteurs (communément appelés APC (article processing charges) ou BPC (book processing charges). :heavy_plus_sign: 2023 Il existe aussi des espaces de publications scientifiques non-commerciaux (revues ou plateformes) pour lesquels les frais sont couverts par des institutions (modèle diamant). Certaines publications (revues scientifiques, ouvrages édités) sont dites hybrides quand seulement une partie de leurs objets, articles ou chapitres, sont librement accessibles.

Fondement

L'un des moyens les plus courants de diffusion des résultats de la recherche consiste à rédiger un manuscrit et à le publier dans une revue scientifique, dans des actes de conférence ou un livre. Pendant de nombreuses années, ces publications étaient accessibles au public moyennant le paiement d'un abonnement ou le paiement à l'article. Cependant, au début du 21 ème siècle, est né un nouveau mouvement avec un objectif clair : rendre tous les résultats de la recherche disponibles au public sans aucune restriction. Ce mouvement a pris le nom de libre accès et a établi deux stratégies initiales pour atteindre son objectif final. La première stratégie consistait à fournir des outils et une assistance aux chercheurs pour qu'ils puissent déposer leurs articles de revues à un comité de lecture dans des archives numériques ouvertes. La seconde consistait à créer une nouvelle génération de revues scientifiques en utilisant le copyright et d'autres outils pour garantir un libre accès permanent à tous les articles qu'elles publient. La première stratégie a donné naissance à des pratiques d'auto-archivage : les chercheurs déposent et diffusent leurs articles dans des archives institutionnelles ou thématiques. La deuxième stratégie a donné lieu à la création de revues en libre accès qui offrent un accès gratuit aux lecteurs et permettent la réutilisation de leur contenu sans pratiquement aucune restriction.

Au-delà de ces deux stratégies établies dans le cadre de l'Initiative de Budapest pour le libre accès en 2002, de nouvelles méthodes de diffusion se sont développées. Parmi celles-ci, on trouve la publication de préprints dans des archives institutionnelles et des serveurs de préprints. Les préprints sont très utilisés dans les sciences physiques et commencent également à l'être dans les sciences de la vie et d'autres domaines. Les préprints sont des documents qui n'ont pas fait l'objet d'une évaluation par les pairs mais qui sont considérés comme une publication scientifique aboutie dans un premier temps. Certains serveurs de préprints intègrent des services d'évaluation ouverte par les pairs et offrent la possibilité de déposer de nouvelles versions de l'article après son évaluation. L'intégration de processus d'évaluation ouverte par les pairs dans les serveurs de préprints a conduit au développement de nouvelles plateformes de publication soutenues par des bailleurs de fonds tels que le Wellcome Trust, la Fondation Bill et Melinda Gates :heavy_plus_sign: 2023 ou la plateforme Open Research Europe mise à disposition par la Commission européenne.

Le choix d'une revue scientifique ou d'une plateforme de publication peut avoir des conséquences sur la disponibilité et l'accessibilité des résultats de la recherche. Les chercheurs ont plusieurs options pour décider où, quand et comment publier leurs résultats. Il est impératif de connaître toutes les implications de ces options pour éviter de futurs problèmes.

Le développement de nombreux modèles économiques autour des revues en libre accès est source de nombreux malentendus et d'incertitude pour les chercheurs lorsqu'ils choisissent leur cible de publication. L'offre de libre accès à l'article proposée par les revues sur abonnement, appelée modèle hybride, complexifie encore davantage les choix en termes de stratégie de publication.

En ce qui concerne l'auto-archivage, les chercheurs sont déconcertés par la diversité des exigences des éditeurs quant à la version de l'article qu'ils ont le droit de déposer dans une archive et le moment où cette version peut être mise à la disposition du public. Ce délai avant la mise en accès libre et gratuit du texte intégral est souvent appelé période d'embargo et diffère selon les revues scientifiques. Les organismes de recherche qui mettent une archive institutionnelle à disposition de leurs chercheurs devraient faciliter les pratiques d'auto-archivage en résumant les exigences des différents éditeurs.

:heavy_plus_sign: 2023 En France, l’article 30 de la loi pour une République numérique a simplifié le cadre légal en autorisant les auteurs de publications financées au moins pour moitié par des fonds publics à auto-archiver la version acceptée pour publication de leurs articles dans des revues scientifiques, après un délai maximum de 6 mois dans le domaine des sciences, de la technique et de la médecine et de douze mois dans celui des sciences humaines et sociales. Les articles publiés en libre accès par l’éditeur peuvent être immédiatement auto-archivés en libre accès. Un guide a été rédigé pour faciliter l’application de cet article de loi.

Objectifs de la formation

  1. Etudier les différentes options dont dispose un chercheur au moment de décider où publier un article, y compris les exigences des bailleurs de fonds.

  2. Etre capable de décider si un article peut être publié avant l'évaluation par les pairs, par exemple sur un serveur de préprints. Les participants apprendront à identifier les solutions dont ils disposent en fonction de leurs disciplines et des politiques des revues, et à connaître les éventuelles conséquences qui pourraient compromettre la publication finale dans une revue à comité de lecture.

  3. Les participants apprendront comment identifier les différences de politiques des revues à comité de lecture, en particulier lorsqu'ils soumettent un article disponible sous forme de préprint. Ils connaîtront les différences entre les revues en libre accès, pourront identifier par exemple celles qui exigent des frais pour la soumission/ la publication et les licences qu'elles utilisent.

  4. Les participants apprendront à connaître les conséquences de la publication dans des revues payantes sur un futur auto-archivage dans un dépôt et les exigences des éditeurs en termes de version et d'embargo. Les participants apprendront également à connaître les revues en libre accès hybride.

  5. (Facultatif en fonction du public) Les apprenants seront informés des opportunités du libre accès lors de la publication d'ouvrages, le mode de diffusion principal pour certaines disciplines.

  6. :heavy_plus_sign: 2023 (Facultatif en fonction du public) Les apprenants seront informés du cadre légal spécifique dans lequel ils évoluent et qui pourrait leur donner des droits additionnels à ce que leur contrat avec leur éditeur leur permet.

  7. Les participants découvriront les différents modèles économiques des revues en libre accès et les opportunités d'obtention de financements pour la publication, si nécessaire.

Éléments clés

Connaissances

Entrepôts et auto-archivage

Au début de l'année 2018, plus de 4600 entrepôts étaient à la disposition des chercheurs pour qu'ils déposent eux-mêmes leurs publications, d'après le Registry of Open Access Repositories. Cette liste inclut des archives institutionnelles, des entrepôts sur un sujet ou une thématique donnée, et des moissonneurs. Les premières sont généralement gérées par des organismes de recherche afin de fournir à leur communauté un lieu d'archivage et de partage libre des articles et autres résultats de recherche. Les entrepôts thématiques sont généralement gérés par des communautés de recherche et la plupart des contenus concernent une discipline donnée. Enfin, les moissonneurs regroupent le contenu de différents entrepôts sur des sites web permettant d'effectuer des recherches générales et de créer d'autres services à valeur ajoutée. Un entrepôt doit impérativement être moissonné pour acquérir une plus grande visibilité. Pour cela, les gestionnaires d'entrepôts doivent suivre des lignes directrices standard concernant l'utilisation et la valeur de ces métadonnées. En outre, les archives institutionnelles peuvent être liées à d'autres bases de données d'informations pour être plus facilement trouvables. Par exemple, PubMed offre la possibilité de pointer vers ses registres par le linkout project. Les entrepôts ont toujours été considérés comme une voie alternative d'accès aux publications scientifiques lorsque l'accès à la source de publication d'origine n'est pas abordable. Des outils comme l'extension de navigateur Unpaywall facilitent cette voie d'accès alternative.

Lorsqu'ils choisissent une revue pour publier leurs résultats de recherche, les chercheurs devraient prendre le temps de lire la politique de la revue concernant le transfert des droits d'auteur. De nombreuses revues exigent encore que les auteurs leur transfèrent l'intégralité de leurs droits d'auteur pour être publiés. Ce transfert de droits implique que les auteurs doivent demander la permission pour réutiliser leur propre travail au-delà de ce qui est autorisé par la loi en vigueur et à moins que certaines utilisations ne soient déjà accordées. Les utilisations autorisées comprennent en particulier l'enseignement, le partage avec des collègues, et surtout la manière dont les chercheurs peuvent auto-archiver leurs articles dans des archives institutionnelles. Parfois, les revues d'un même éditeur partagent la même politique, mais les revues générales suivent chacune sa propre politique, surtout lorsqu'elles sont publiées pour le compte d'une société savante. Lorsque l'on examine les conditions d'auto-archivage, il convient d'identifier deux points clés : la version de l'article qui peut être déposée et le délai après lequel elle peut être rendue accessible au public.

En ce qui concerne la version de l'article, certaines revues autorisent la diffusion de la version soumise, également appelée préprint, et permettent son remplacement par la version révisée une fois que l'article final a été publié. Du fait de la multiplication des politiques exigeant l'accès aux résultats de la recherche, la plupart des revues permettent le dépôt de la version acceptée de l'article, également appelée version auteur ou postprint. Cette version est le texte final, une fois le processus d'évaluation par les pairs terminé, mais sans la mise en page finale de la publication. Enfin, certaines revues permettent aux chercheurs de déposer la version finale publiée, également appelée "version of record".

En ce qui concerne le moment auquel l'article peut être mis à la disposition du public, de nombreuses revues fixent un délai à compter de la publication originale d'un article, appelé période d'embargo, qui peut aller de zéro à 60 mois. Certaines revues définissent ou non un embargo en fonction des versions de l'article. Par exemple, la version acceptée peut être mise à la disposition du public dès sa publication, mais la version publiée devra attendre 12 mois.

Focus : la stratégie de non-cession des droits + 2023

La cOAlition S, qui regroupe 28 organisations de financement de la recherche, propose une stratégie de non-cession des droits afin que les articles issus des recherches qu’elle finance soient diffusés en libre accès dès leur date de publication et sous une licence Creative Commons CC-BY. Pour cela, les auteurs doivent informer leur éditeur qu’une licence CC-BY s’applique à l’ensemble des versions de leur article entre la version soumise et la version acceptée pour publication. Un guide publié par le Comité français pour la science ouverte propose une aide pour mettre en œuvre cette stratégie.

La Publication en Libre Accès

Le nombre de revues en libre accès a augmenté ces dernières années, constituant ainsi une réelle option pour les chercheurs lorsqu'ils doivent décider où publier leurs résultats. Selon le Directory of Open Access Journals (DOAJ) il existe actuellement près de 19 000 revues. Néanmoins, il est important de noter qu'une revue en libre accès doit fournir un accès gratuit à son contenu, mais elle doit aussi en autoriser la réutilisation. Aucune mention légale ne doit juridiquement s'entendre comme "tous droits réservés". Bien que la définition d'une revue en libre accès n'inclue aucune condition quant à son modèle économique, le fait est que dans certaines de ces revues, il faut payer pour être publié, d'où le nom de revues auteur-payeur. Ce malentendu vient du fait que les revues dont la notoriété et l'impact sont le plus élevés fonctionnent selon ce modèle. Néanmoins, environ 68% des revues recensées par le DOAJ ne demandent pas de versement de frais APC aux auteurs (au 9 février 2023).

Actuellement, de nombreuses revues payantes sur abonnement offrent aux chercheurs des options individuelles de libre accès une fois que l'article a été accepté après évaluation par les pairs. Ces options comprennent la publication sous une licence de contenu libre de droit et le libre accès à toute personne dès la première publication. Ce modèle est communément appelé modèle hybride parce que, dans le même numéro d'une revue, les lecteurs peuvent trouver à la fois des articles en libre accès et des contributions payantes. Les éditeurs font habituellement payer un droit aux contributions individuelles libres. Des études montrent que les frais de publication dans les revues hybrides sont plus élevés que la moyenne des frais de traitement de l'article dans certaines revues en libre accès intégral (Jahn & Tullney 2016). Entre autres raisons, les chercheurs optent pour ce modèle hybride pour satisfaire à certaines exigences des bailleurs de fonds, en particulier de ceux qui exigent un accès public immédiat aux résultats de la recherche ou de courtes périodes d'embargo.

Certains financeurs de la recherche ont décidé de créer leurs propres plateformes de publication afin de fournir à leurs bénéficiaires un lieu où publier leurs résultats. En général, la publication sur ces plateformes coûte environ 1000 € et tous les documents sont publiés sous une licence CC BY. La publication n'est pas limitée aux articles ; les chercheurs peuvent soumettre par exemple des données ou des logiciels. Il n'y a pas de processus d'évaluation par les pairs préalablement à la soumission, et les chercheurs publient donc des documents qui ne passent que par un examen éditorial limité consistant à vérifier le format, mais il n'y a pas d'évaluation sur le contenu. L'évaluation par les pairs est effectuée de manière transparente, ce qui permet à chacun de lire les commentaires et d'en connaître les auteurs. Après l'évaluation ouverte par les pairs, les auteurs peuvent déposer des versions actualisées de leur article.

Certaines disciplines préfèrent utiliser d'autres formats que les revues scientifiques pour publier leurs résultats, par exemple des ouvrages. Au départ, les éditeurs étaient très réticents à permettre aux chercheurs d'archiver eux-mêmes un livre complet ou seulement un chapitre d'un ouvrage. Cependant, certains éditeurs ont commencé à adopter des politiques visant à faciliter cette pratique. A l'inverse, certaines presses universitaires ont fait évoluer leur modèle de publication vers le libre accès afin d'accroître la visibilité de leur contenu, en particulier les monographies. Ce changement peut s'expliquer comme une réponse à la réduction des achats de monographies en raison des restrictions budgétaires des bibliothèques. Un modèle courant pour ces presses universitaires en libre accès consiste à fournir une version gratuite en PDF et à vendre des versions papier ou epub (voir par exemple UCL). En outre, la création du Directory of Open Access Books a permis d'améliorer leur référencement. De même que pour les initiatives de libre accès pour les revues, des projets ont été lancés afin de mettre en place un fonds commun pour la création de monographies en libre accès, par exemple Knowledge Unlatched.

Compétences

  • Choisir une archive ouverte ou un serveur de préprints appropriés, en fonction de sa discipline

  • Auto-archiver une publication dans une archive ouverte appropriée, une archive institutionnelle ou thématique, en respectant les restrictions éventuelles imposées par l'éditeur, principalement liées à la version autorisée à être déposée et à la période d'embargo

  • Choisir parmi les options de revues en libre accès et de plateformes de publication disponibles

  • Trouver des financements ou des remises pour publier dans des revues en libre accès, si nécessaire.

Questions, obstacles et idées fausses courantes

Q : "Si je publie mon travail sous forme de préprint, il ne sera pas reconnu -- Je ne serai crédité qu'en cas de publication d'un article de revue évalué par des pairs".

R : De nombreux bailleurs de fonds reconnaissent et prennent en compte dans leurs politiques, l'importance croissante des préprints : Le Howard Hughes Medical Institute (HHMI), le Wellcome Trust, le Medical Research Council (Royaume-Uni) et les National Institutes of Health (NIH) ont annoncé des mesures permettant aux chercheurs de citer leurs propres préprints dans leurs demandes de financement et leurs rapports (Luther 2017). En outre, les préprints aident à établir la priorité des résultats et peuvent augmenter l'impact - et le nombre de citations - d'un article évalué ultérieurement par les pairs McKiernan 2016].

Certains chercheurs sont encore réticents à déposer d'autres versions que la version finale publiée. Il est important de les informer des conséquences pour le droit d'auteur lorsqu'ils signent un document de transfert de copyright ou de droit d'auteur.

Oubliez l'idée fausse selon laquelle une revue en libre accès est une revue dans laquelle les auteurs doivent payer pour publier. Le modèle auteur-payeur n'est que l'un des différents modèles économiques existants pour une revue en libre accès. En témoignent les données sur le nombre de revues qui ne facturent pas de frais de publication (par exemple, au 9 février 2023, le DOAJ indique que 68 % des 18 964 revues en libre accès répertoriées ne demandent pas de frais de publication). Vous pouvez également présenter d'autres modèles économiques, tels que la SCOAP3 Initiative, le LingOA project ou l'Open Library of Humanities.

L'utilisation de plateformes de publication comporte des implications pour l'évaluation de la recherche, le processus d'évaluation par les pairs et le rôle des éditeurs. Il existe encore de nombreuses évaluations de la recherche basées sur les métriques des revues et cette nouvelle façon de publier remet donc en question ces évaluations. De plus, le fait que l'évaluation par les pairs soit totalement transparente, permet aux lecteurs d'identifier les évaluateurs et de suivre les différentes versions de l'article. Enfin, si ces plateformes deviennent l'outil commun de publication des résultats, les éditeurs devront redéfinir leur rôle dans le processus de communication scientifique.

Le modèle hybride est très controversé et soulève de nombreuses questions au sujet des coûts, la possibilité d'un paiement double (par les institutions pour l’abonnement à la ressource et par les auteurs pour la mise à disposition libre de leur article) et l'utilisation (ou l'absence) de licences.

Vous pouvez débattre de l'avenir de la communication scientifique en présentant certains des modèles alternatifs ou des projets de transition comme l'OA2020 global alliance proposée par la Max Planck Society.

Acquis de la formation

  1. Les participants seront capables de choisir la cible de publication de leur article de recherche, et de décrire les implications et les conséquences de ce choix.

  2. Les participants seront capables de déterminer la politique d'auto-archivage d'une revue dans laquelle ils veulent publier en fonction des informations disponibles sur le site web correspondant ou sur l'un des portails d'informations générales comme Sherpa/Romeo, Dulcinea et Mir@bel.

  3. :heavy_plus_sign: 2023 Les participants seront capables de déterminer s’ils sont couverts par un cadre légal qui s’impose au contrat signé avec leur éditeur, tel que la loi pour une République numérique en France

  4. Les participants qui souhaitent créer une nouvelle revue en libre accès seront capables de décrire leur propre politique d'auto-archivage, leur politique de licence et leur modèle économique.

  5. Les participants qui gèrent des archives ouvertes seront capables de décrire les outils et les services permettant l'auto-archivage par les chercheurs.

Lectures complémentaires

+ 2023

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